21h30. Le train commence à rouler dans un bruit d’enfer. Toulon – Paris, une nuit blanche pour commencer cette permission de 72h.
Dans ce compartiment où je suis installé, deux dames d’un certain âge avec un homme mur d’une quarantaine d’années. Nous avons de la
place, pour une fois. Un signe de tête en guise de bonsoir et je m’installe contre la porte donnant sur le couloir.
J’aime le train, même si c’est crevant. Ca me permet de penser, de rêvasser, pas grand-chose d’autre à faire durant le trajet qui parfois n’en
finit pas.
Cette nuit là, je rejoignais mon amie de l’époque en Normandie et j’imaginais, au fil des kilomètres, comment nous allions
« remplir » au mieux ces quelques heures de détente. L’hôtel, les longues mise en bouche qu’elle adorait, le manque de son cul, sa chatte trempée avant même que je ne la touche… Le sexe
faisait partie intégrante de mes pensées. Normal, après 3 mois de séparation…
Les deux femmes, installées face à face près de la fenêtre, papotaient de tout et de rien, l’homme, face à moi, mais décalé d’une
place, lisait un journal et leur répondait de temps en temps. Visiblement leur dialogue ne l’intéressait pas trop.
La tête appuyé contre la banquette, je regardais dans le vague quand je croisais pour la première fois le regard de l’homme. Au dessus de son
journal, il me regardait et je ne compris pas de suite que c’était avec insistance qu’il le faisait depuis le départ.
Le regard attire le regard, dit-on. Après une demi heure de trajet, je me demandais si c’était le mien qui lui faisait lever les yeux où au
contraire, si c’était son regard qui faisait que je posais les miens sur lui régulièrement.
Plusieurs fois, j’ai cru le voir sourire fugitivement. Le journal ne laissait voir que le haut de son visage jusqu’à la base du nez, mais ses
yeux qui se plissaient légèrement.. C’était bien des sourires très discret, j’en étais sur.
Le train avait dépassé Aix depuis quelques temps. Il s’arrêtait aux gares principales. Des gens montaient et descendaient, mais rien de nouveau
dans notre compartiment.
Mes pensées avaient quitté l’amie que je rejoignais et je revivais cette nuit où j’avais découvert une relation à laquelle je ne pensais plus
depuis quelques mois et durant laquelle j'avais perdu la virginité de mon anus.
Ces pensées mêlées à celles concernant mon amie finissaient par me faire bander sérieusement. Je posais une main sur la bosse qui bougeait sous
les contractions de désir. Je me demandais en même temps si çà ne ressemblait pas à une invitation plus qu’autre chose. Après quelques hésitation et un regard de sa part dirigé sur ma main
protectrice, je décidais de ne plus rien cacher du tout. Les pantalons moulant à la mode, n’étaient pas fait pour dissimuler ce genre de chose et même assis, en jetant un rapide coup d’œil je
voyais que… ca se voyait.
Le petit manège des regards continua jusqu’à Orange avec un détail en plus de son côté. Il avait rangé son journal et le tenait d’une main sur
ses genoux. Discrètement, l’autre passait régulièrement de sa cuisse à la fermeture de son pantalon. Des coups d’œil de moins en moins furtifs, me permettaient de constater qu’il avait la même
bosse que moi à cet endroit ce qui ne fit que m’exciter davantage.
Une des femmes se leva lorsque le train ralenti à l’approche d’Avignon. Elle rassembla ses affaires et dit au revoir au couple. C’était son
terminus. Il se leva pour laisser passer la femme et ses bagages. J’en profitais pour admirer une seconde la belle bosse allongée qui déformait son pantalon avant de me lever à mon tour. Lui
s’était rassit et le temps que la femme passe, je pu constater qu’il ne se gênait pas pour apprécier mon érection.
Avant même de quitter le compartiment, la dame se retourna et lança un regard sur le filet à bagage situé au dessus de l’homme.
« J’allais oublier les cadeaux. Vous pourriez me passer le sac de toile là haut monsieur ? »
Elle s’adressait à moi et ce sac était juste au dessus de l’homme. Cette fois il allait profiter de ce que mon slip contenait de plus en plus
difficilement.
Je me plaçais face à lui et pris le sac à deux mains. Il pouvait constater l’ampleur de mon érection à quelques centimètres de son visage.
J’étais à la fois gêné et en même temps très heureux de cette position. Cette grosseur était pour lui et au fil des kilomètres et des pensées cochonnes, je voulais de plus en plus qu’il
sache.
La femme quitta le compartiment et l’homme se releva pour l’accompagner. En passant il se tourna vers moi, comme si le passage était trop
étroit pour qu’il puisse passer de face. Bien sur c’est côté queue qu’il se présenta comme pour me dire
« Moi aussi j’en ai envie »
Sa femme le suivi et ils restèrent un moment à la fenêtre du couloir pour regarder leur « amie » quitter la gare. Je m’étais rassis
et plusieurs fois durant cet « au revoir », il passa sa main sur sa bosse sans me regarder, devinant que mes yeux étaient rivés à cet endroit. Sa femme regagna sa place la première, il la suivi. Je m’étais relevé pour les laisser passer, même si ils pouvaient largement le faire. Je ne sais pas si il prit ca pour une
invitation mais lorsqu’il passa à ma hauteur, je senti franchement sa main me frôler le pantalon.
Cette fois il fallait faire quelque chose, mais il allait être accaparé par sa femme, maintenant qu’elle était seule, du moins c’est ce que je
pensais.
Après quelques kilomètres nous avions échangé quelques mots et j’appris qu’ils rentraient à Paris. Nous avions encore pas mal de temps devant
nous donc et j’avais très envie que quelque chose se passe le plus tôt possible.
Elle et lui n’avait pas grand-chose à se dire et elle somnolait contre la fenêtre. Toujours discrètement mais sans se cacher il se massait la
tige au travers de son pantalon et je palpais la mienne pendant que sa femme se laissait aller dans les bras de Morphé.
En tendant le tissus de chaque côté de sa queue, il me montrait l’envie qu’il avait et ce qu’il me proposait. De mon côté j’allongeais mes
jambes et lui offrais en spectacle le renflement qui tendait la toile au niveau du zip de mon pantalon tout en réfléchissant à la manière idéale de nous retrouver en tête a tête.
C’est sa femme qui nous offrit cette occasion. Elle s’étira et annonça qu’elle allait au wagon restaurant pour trouver de quoi boire et
manger. Superbe idée. Son mari lui demanda de rapporter de l’eau et un sandwich en lui précisant qu’il gardait les affaires. Normal de ne pas laisser ses bagages à la portée de l’inconnu que
j’étais.
« Le restaurant est à 4 ou 5 wagons du notre » me dit le mari à peine sa femme sortie.
Il se leva, rouvrit la porte et se plaça dans l’encadrement pour surveiller le couloir tout en baissant le zip de son pantalon. Il n’était pas
nécessaire, à ce stade, de dire quoi que ce soir de plus. Il savait et je savais qu’il fallait en profiter.
Il prit une position un peu particulière pour un voyageur qui prend l’air. Le dos au couloir dans l’encadrement de la porte, il restait tourné
face au compartiment, la tête légèrement penchée en arrière. Sympa la position. Il m’offrait son sexe et avait vue sur le couloir au cas où.
J’avais son sexe à portée de mains, de bouche, enfin. Je glissais mes doigts entre son slip et son pantalon et lui toucha enfin ce qu’il me
promettait depuis trop de temps. A travers le tissu durant quelques secondes je palpais sa queue ferme, gonflée de sang. Je la sortie ensuite de son « emballage » et pu l’admirer à
quelques centimètres de mon visage.
Son gland était large, brillant et brulant. Sa tige épaisse et longue. Je n’avais pas vu beaucoup de bites dans ma vie, mais celle-ci devait être d’une taille plus que raisonnable et sa forme me plaisait vraiment beaucoup.
Son gland était large, brillant et brulant. Sa tige épaisse et longue. Je n’avais pas vu beaucoup de bites dans ma vie, mais celle-ci devait être d’une taille plus que raisonnable et sa forme me plaisait vraiment beaucoup.
J’étais resté assis et je tenais en main cette superbe queue qui ne demandait qu’à cracher son jus là où j’en avais envie. Je me penchais
un peu plus et en la décalottant, j’ouvris la bouche pour l’accueillir. . Je sortis ses couilles, qui me parurent petites.
La position n’était pas idéale et je me mis à genoux. Cette fois, bien en face, je lui pris la bite pour la placer à l'horizontale et l’engloutie d'un coup. Je lui appliquais de longs mouvements de tête en me donnant des hauts le cœur, tellement je m’empalais profondément la bouche. C'était vraiment bon de pouvoir sucer une si belle queue et je m'appercu que ça m'avait manqué depuis cette première fois.
La position n’était pas idéale et je me mis à genoux. Cette fois, bien en face, je lui pris la bite pour la placer à l'horizontale et l’engloutie d'un coup. Je lui appliquais de longs mouvements de tête en me donnant des hauts le cœur, tellement je m’empalais profondément la bouche. C'était vraiment bon de pouvoir sucer une si belle queue et je m'appercu que ça m'avait manqué depuis cette première fois.
Sa femme en avait pour au minimum 10 minutes si il n’y avait pas d’attente là bas. J’en profitais un maximum et espérais qu’il crache son jus
avant son retour. Qu’importe si ma queue restait gonflée, je voulais son jus, son plaisir dans ma gorge.
Entre deux aspiration de sa queue, je lui léchais un peu les couilles, mais gêné par son slip, je préférais reprendre très vite sa superbe tige
entre mes lèvres et l’aspirer le plus profondément possible.
Je ne m’occupais plus du tout de ce qui se passait dans le couloir, il surveillait je pouvais y aller en toute tranquillité. Bien calé face à
lui, je lui pris les hanches et accéléra le mouvement de ma bouche, comme « l’autre » m’avait appris. Il accompagnait mon geste d’un mouvement de bassin, comme s’il me baisait. En fait
il me baisait, ou je me baisais, qu’importe, sa queue entrait et sortait de ma bouche et c’était le principal.
Après quelques instants trop courts, il posa ses mains sur ma tête pour me faire arrêter.
« Doucement on a encore un peu de temps, tu veux mon jus ? »
Je hochais affirmativement la tête sans lâcher sa queue.
« Lèches la sur la longueur »
Ma langue courue le long de sa grosse veine, des couilles jusqu’au gland que j’aspirai au passage pour le sucer un peu, puis je léchais à
nouveau sa tige du haut en bas, de gauche à droite en la frottant sur mes lèvres. Je lui baissais un peu le slip et pu lui lécher mieux les couilles. Son sexe était couvert de ma salive et
toujours mes mains sur ses hanches, je l’amenais à la jouissance du bout des lèvres.
Après 2 ou 3 minutes de récréation pour laisser retomber sa pression, j’enfournais à nouveau sa bite et cette fois c’est lui qui rythma la
cadence. Plus lentement que moi, mais en ressortant presque le gland de ma bouche et en s’enfonçant plus loin. J’avais moins de mal à l’enfourner et je sentais son gland me pénétrer profondément
jusqu’à me caresser les amygdales.
Ma main droite lui caressait les couilles. Il continuait de regarder furtivement dans le couloir mais ses deux mains me tenaient la tête au
niveau des tempes. Il me bourrait littéralement et de plus en plus vite.
Soudain je sentis sa queue se contracter, ses mains se serrer, je lui pressais les couilles un peu plus, il m'enfourna sa queue bien au fond et
son foutre gicla. Je sentis le liquide chaud et épais envahir directement ma gorge. J’avalais avec difficulté pendant qu’il continuait de me baiser. Je pensais un instant au dentiste.. un peu le
même type de déglutition quand on doit garder la bouche ouverte et avaler sa salive en même temps. Son mouvement était devenu très long et rapide à la fois. Il lacha une seconde
giclée lors d'un mouvement de recul. Je senti son jus sur ma langue. le goût pas vraiment agréable mais tres excitant de penser qu'il me lachait tout dans la bouche. Il arréta net
de me baiser la bouche pour terminer avec sa main. Il sorti son gland et s’astiquât tres vite en gémissant pour lâcher les dernières gouttes pendant que j’avalais sa seconde giclée. Je le
vis serrer sa queue entre ses doigts et lâcher d’un coup. Le dernier jet plus réduit me toucha sur la joue. Il frotta son gland là où son sperme commençait à couler et me l’étala jusqu’aux
lèvres. J’en profitais et le pris une dernière fois en bouche pour lui essuyer le gland gouluement, pendant que sa queue reprenait sa taille de repos.
Ca n’avait pas duré plus de 10 mn. Il se rhabilla et se rassit. Son jus encore dans ma bouche.
Je vis sa femme arriver au bout du couloir, les mains vides, au moment où il me demandait de me placer dans la même position que lui. Trop tard, dommage, j’avais la queue au bord de l’explosion et sa bouche m’aurait surement fait le plus grand bien.
Je m’installais dans le couloir et allumais une cigarette en espérant qu’une nouvelle occasion lui permettrait de me rendre la pareille.
Je vis sa femme arriver au bout du couloir, les mains vides, au moment où il me demandait de me placer dans la même position que lui. Trop tard, dommage, j’avais la queue au bord de l’explosion et sa bouche m’aurait surement fait le plus grand bien.
Je m’installais dans le couloir et allumais une cigarette en espérant qu’une nouvelle occasion lui permettrait de me rendre la pareille.
Quand sa femme annonça qu’elle y retournerait parce qu’il y avait trop de monde, je le vis sourire en se passant la langue sur les lèvres. Le
voyage n’était pas terminé, nous n’étions même pas arrivés à Lyons…
À suivre
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