01h00. Plus de train avant 06h00. Une galère j'étais encore à 30 kilomètres de chez moi.
Je sorti de la gare ne sachant s j'allais chercher un hôtel ou faire du stop. Attendre en tournant en rond durant 5 h ne me disait rien du tout...
Je n'eu pas à réfléchir longtemps..
Je marchais depuis 3 mn en direction de nul part quand une voiture s'arrêta prés de moi.
- Je vous ai aperçu à la gare, vous attendez une correspondance?
- Oui, mais pas de train avant 06h.
- Ou allez-vous? Moi je pars sur Amiens.
- C'est ma route, vous pourriez me déposer en passant?
- Bien sur, montez.
Je venais de faire le premier pas vers ma première expérience homosexuel. en montant dans cette voiture, je ne savais pas encore que j'en ressortirai un peu différent.
Nous avons bavardé un moment sur la galère des trains, puis de mon état de militaire.
J'étais en permission, une des premières après mon incorporation et ca avait l'air de l'intéresser.
Presque naturellement il attaqua le sujet du sexe en caserne en prenant soin de ne pas aller trop vite, mais en me dirigeant droit vers ce qu'il préparait surement depuis le début..
Le manque de contacts féminin, la proximité des autres dans les chambrées.. il me sorti tout ce qui lui semblait logique et qui allait m'amener à des relations homme-homme inévitable dans ces circonstances.
Bien sur, jamais je n'ai eu ce genre de relation lors de mes différentes affectations, mais je le laissais argumenter.
En fait çà me plaisait assez de l'entendre me parler sexe entre homme et déjà curieux de tout à l'époque, je voulais en savoir plus sur le but de ce dialogue.
Il ne roulait pas vite et je n'étais plus trop pressé. Je le suivais dans ses raisonnements même si je n'étais pas d'accord avec lui sur ce manque qui nous conduit irrémédiablement vers des rapports entre mecs.
Je sorti de la gare ne sachant s j'allais chercher un hôtel ou faire du stop. Attendre en tournant en rond durant 5 h ne me disait rien du tout...
Je n'eu pas à réfléchir longtemps..
Je marchais depuis 3 mn en direction de nul part quand une voiture s'arrêta prés de moi.
- Je vous ai aperçu à la gare, vous attendez une correspondance?
- Oui, mais pas de train avant 06h.
- Ou allez-vous? Moi je pars sur Amiens.
- C'est ma route, vous pourriez me déposer en passant?
- Bien sur, montez.
Je venais de faire le premier pas vers ma première expérience homosexuel. en montant dans cette voiture, je ne savais pas encore que j'en ressortirai un peu différent.
Nous avons bavardé un moment sur la galère des trains, puis de mon état de militaire.
J'étais en permission, une des premières après mon incorporation et ca avait l'air de l'intéresser.
Presque naturellement il attaqua le sujet du sexe en caserne en prenant soin de ne pas aller trop vite, mais en me dirigeant droit vers ce qu'il préparait surement depuis le début..
Le manque de contacts féminin, la proximité des autres dans les chambrées.. il me sorti tout ce qui lui semblait logique et qui allait m'amener à des relations homme-homme inévitable dans ces circonstances.
Bien sur, jamais je n'ai eu ce genre de relation lors de mes différentes affectations, mais je le laissais argumenter.
En fait çà me plaisait assez de l'entendre me parler sexe entre homme et déjà curieux de tout à l'époque, je voulais en savoir plus sur le but de ce dialogue.
Il ne roulait pas vite et je n'étais plus trop pressé. Je le suivais dans ses raisonnements même si je n'étais pas d'accord avec lui sur ce manque qui nous conduit irrémédiablement vers des rapports entre mecs.
Je crois qu’à cet instant j’espérais déjà connaître cette « autre chose ».
De toutes façons il faudra passer par là et il n’y a rien de choquant, tous les militaires ont un jour ou l’autre cette
relation.. Tu devrais t’y préparer.
Bien sur, mais pour le moment je n’ai pas été confronté à cette question et c’est la première fois qu’on m’en
parle. Je ne vois pas comment on peut s’y préparer.
Je peux t’aider à découvrir çà et tu seras plus à l’aise le jour ou ca arrivera la bas, me dit il en posant la main sur ma
cuisse.
Cette fois ca y était, et la bosse qui gonflait mon pantalon trahissait mon émotion sans possibilité de mentir. Il
caressait ma cuisse en montant à chaque aller retour et atteignit rapidement l’endroit qu’il convoitait. Je ne bougeais pas, le silence s’était installé.
Il conduisait de plus en plus lentement et j’avoue que j’espérais qu’il allait carrément s’arrêter quelque part où
il pourrait poursuivre plus facilement.
Après quelques instants il me prit la main que j’avais posée sur mon genou et la posa sur son sexe.
Pour la première fois je découvrais le renflement de désir d’un autre. Ma queue s’agitait et formait une superbe bosse
qu’il massait lentement. Je commençais à faire de même en suivant ses gestes, comme un apprenti que j’étais.
Je n’avais pas remarqué qu’il avait pris une petite route et s’engageait maintenant dans un chemin entre deux bouquets
d’arbres.
-On sera mieux ici.
C’est sur qu’on y sera mieux et j’avais hâte de découvrir ce qu’il cachait dans son slip.
-Ouvre mon pantalon.
Nos gestes se croisaient s’entremêlaient et c’est presque en même temps que nos doigts se sont glissé sous le
tissu pour saisir la tige de l’autre.
Je vais te sucer, tu essaieras après si tu aimes dit il en abaissant mon siège en couchette.
Sans un mot, je m’allongeais et il baissa mon pantalon.
Je senti une chaleur humide autour de mon sexe. Sa bouche venait de le prendre et commençait un va et vient superbe. Il
suçait avec plaisir et aspirait ma tige lorsqu’il remontait, je sentais sa salive me la mouiller. Ses doigts me massaient les couilles et venaient prendre la place de sa bouche quand il
les gobait une a une en les faisant rouler avec sa langue.
Il me pompa quelques minutes et je l’arrêtai quand je senti que j’allais exploser entre ses lèvres. Je ne voulais pas
jouir de suite, je savais que ca couperait mon envie et que je n’aurai plus gout à la découverte que je voulais faire.
Il baissa son siège et baissa son pantalon.
Je pris sa queue entre mes doigts et commença a le branler doucement en approchant mes lèvres. Je sentais un liquide
lubrifiant s’en écouler et sa queue glissait maintenant entre mes doigts. J’embrassai le gland humide, puis ouvrit la bouche pendant qu’il posait une main sur ma nuque en appuyant
doucement.
Son geste fit entrer son gland et je resserrai les lèvres pour l’emprisonner et lui rendre ce qu’il venait de me faire.
Bientôt sa queue entrait et sortait de ma bouche et je le suçais intensément. J’essayais de le prendre le plus profondément possible quitte à avoir des hauts le cœur. J’aimais ce sexe dans
ma bouche et voulais lui faire plaisir. Je léchais, je suçais, je branlais sous sa direction. Il me guidait par des mots ou des gestes précis ? J’aspirais ses couilles comme il l’avais fait
puis revenait sur sa queue dure et gonflée de sang. C’était un réel plaisir et j’aurai continué des heures je crois.
arrêtes, on sera mieux dehors, j’ai envie de ton cul.
Je lâchais sa tige à regret et après s’être débarrassé de nos pantalon et slip, nous nous sommes retrouvé dehors, cul nu,
à se frotter le sexe l’un contre l’autre avant qu’il ne me demande de me retourner en me penchant sur le capot.
Va doucement s’il te plait.
Ne t’inquiète pas j’ai l’habitude, tu vas voir.
Il passa derrière moi, s’agenouilla et commença a me lécher les fesses. C’était également une caresse nouvelle pour
moi et j’étais aux anges. Quand il passa sa langue le long de ma raie, je me cambrai un peu plus pour lui offrir mon cul. Je devenais déjà, dés la première fois, une vraie chienne, mais je pense
aujourd’hui que tout devait être là, en moi, prêt à sortir à la première occasion.
Il me mouilla l’anus d’une langue chaude et pénétrante, m’écartant les fesses des deux mains pour s’y introduire un peu
plus. Une fois de plus, j’aurai voulu que çà ne s’arrête pas. Un doigt inquisiteur m’ouvrit la rondelle lentement et je le senti s’enfoncer en moi sans aucun mal. Il pratiqua quelques va et vient
en décrivant de petits cercles pour élargir l’entrée et la préparer pour la suite. Il alternait maintenant la langue et le doigt, puis força un peu plus le passage d’un second doigts
dilatateur.
Il se releva ensuite et frotta doucement sa tige contre mes fesses puis le long de ma raie. Il l’humidifia de salive et la
guida devant l’entrée de mon petit trou vierge.
détends-toi.
J’essayais de me détendre mais..même si j’en crevais d’envie, pas facile de se faire baiser comme çà.
Il appuya son gland contre mon cul et commença à forcer le passage. Doucement il gagnait du terrain et je sentais son
gland entrer un peu plus loin à chacune de ses poussées. Lorsqu’il entra entièrement, une vive douleur me fit gémir. Il s’arrêta en me caressant les fesses, puis ressorti et se remit à genoux
pour me détendre l’anus de ses lèvres gourmandes. La douleur s’estompa très vite. L’anneau s’était ouvert un peu vite peut être mais il avait l’air d’être prêt cette fois.
Lorsque je senti a nouveau son gland appuyer sur mon entrée, je respirai un grand coup et me détendis, sachant qu’il
fallait que çà entre et qu’il allait faire ce qu’il fallait pour.
Cette fois le gland me pénétra sans douleur, je le sentis ouvrir mon anneau et s’y glisser sans problème.
Il avait bien préparé l’entrée et quand il senti que la voie était ouverte définitivement, il s’enfonçât en moi en
plusieurs mouvements lents mais fermes qui amena sa queue bien au fond de mon anus.
Je restais les mains posées sur le capot, la tête baissée, les fesses relevées pendant qu’il s’activait dans mon cul
défloré. Il m’avait pris les hanches et me travaillait de cul en de longs mouvements d’avant en arrière. Je sentais sa tige glisser dans mon cul qu’il avait superbement préparé. C’était
divin, ses couilles battaient prés des miennes et sa queue me dilatait l’entrée.
De temps en temps elle s’échappait et d’un geste précis il me la replaçait face au trou pour y entrer à nouveau d’un
coup de rein nerveux. J’aimais ces entrées et sorties, et j’ai toujours gardé ce plaisir précis. L’entrée d’une queue entre mes fesses.
En me penchant un peu plus, je passais ma main entre mes jambes et lui caressa les couilles et la bite lorsqu’elle
sortait. Il la laissa un moment entre mes doigts, comme pour me faire constater ce qu’il me mettait dans le cul, comme pour me dire, « - Regarde ce que tu prends dans ton petit
trou ».
Je la caressais un moment en la frottant sur mon anus avant de me l’introduire en reculant dessus.
Sans ménagement il me la fit pénétrer jusqu’au bout et me baisa de plus belle en s’agrippant a mes hanches.
Je le sentis se crisper et haleter plus fort quand il ne pu retenir plus longtemps son foutre. J’avais ses couilles ente
les doigts et les massais consciencieusement quand il déchargea son sperme en râlant et en me bourrant le cul encore plus fort. Ses doigts serraient mes hanches lorsqu’il se vida les couilles
dans mon cul dilaté. Superbe moment que de sentir le plaisir d’un autre vous remplir le cul, même si je regrettais ne pas sentir la chaleur de son foutre m’envahir.
Il resta un petit moment planté dans mon cul, je sentais sa queue fléchir et sortir de moi. Un liquide chaud coula entre
mes jambes. Son jus.
Rapidement nous nous sommes rhabillés et presqu’aucun mot ne fut prononcé sur le reste de la route.
Qu’en penses-tu ?
C’était vraiment bon et je pense que ca ne sera pas la dernière fois que je ferai ca…
Il me déposa prés de chez moi. En rentrant et durant quelques heures durant, son jus ressortait en me rappelant à son bon
souvenir.
Souvenir que je garde en moi aujourd’hui encore. Il fut le premier à ouvrir cette voie. Merci à lui de m’avoir fait aimer
ça.
Hugo
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