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Nous étions maintenant proches de Lyons et pas la moindre occasion de satisfaire cette envie qui heureusement ne gonflait plus mon slip. Mais elle était encore la, prête à tendre le tissus à la moindre provocation de sa part.
Sa femme s’était assoupi et ronflait doucement. Je pense que lui aussi attendait une occasion de se saisir de ma queue par n’importe quel moyen. Il fermait les yeux , comme pour dormir mais quand il les ouvrait, c’était pour fixer mon entre jambe en se léchant les lèvres en souriant.
Je pris la décision d’agir a trente minutes de Lyons. Je n’en pouvais plus et il fallait que je me fasse toucher, palper, sucer, masser engloutir aspirer la tige.
Mes affaires se résumaient à une valise de fringues et je pouvais la laisser la sans trop de crainte. Même si elle disparaissait, çà n’était pas une perte terrible.
Je me levais en annonçant doucement que j’allais voir au wagon restaurant si je pouvais trouver à boire.
-Bonne idée, lança t il en prenant le bras de sa femme pour la réveiller. Je vous accompagne, restes pour surveiller nos affaires chérie.
Elle se redressa sur la banquette avec un gémissement affirmatif, comme pour lui dire, ok vas y, chacun son tour.
Il me suivi dans le couloir désert. Dans le wagon suivant une personne fumait à la fenêtre et rentra dans son compartiment après notre passage.
Le prochain wagon était le dernier avant le « restaurant ». Je m’arrêtais quelque mètres avant de franchir la séparation, il me doubla en me caressant la bosse au passage et me fit signe de le suivre.  J’étais tenaillé par l’envie qui déformait à nouveau dans mon pantalon et la peur d’être surpris.
« Réservé au service »
La petite porte s’ouvrit au moment et nous sépara un instant.. Un contrôleur apparu en ajustant sa casquette « SNCF », un carnet à la main.
Je pu voir un petit local très étroit équipé d’une banquette avant qu’il ne referme la porte à l’aide d’une clé spéciale.
-« Billet s’il vous plait , vous êtes dans quel wagon ?»
- Nous sommes deux wagons plus loin, c’est bien par la le restaurant ?
Je lui tendis mon billet que je gardais dans la poche de ma chemise.
-         Oui deuxième wagon.
-         Je n’ai pas le mien, je reviens. Tu m’attends la ?
Mon suceur retourna dans notre compartiment, suivi du contrôleur.
Durant mon attente, je regardais cette porte qui semblait me dire, « Là que tu serais tranquille »
En fait de serrure spéciale c’était un simple trou carré et n’importe quel tourne vis ou objet plat pouvait convenir.
Le train comportait 5 ou 6 wagons, et le contrôle allait à première vue débuter a l’autre bout. Ca nous laissait un certain temps si tout se passait bien.
Je décidais d’aller chercher ce qu’il fallait pour ouvrir et fila moi aussi dans la même direction quand je sentis la clé de mon appartement dans ma poche arrière.
Sans attendre, j’essayais de l’introduire dans la « serrure ». Elle était un peu trop fine mais en l’enfonçant à fond, la base bloqua sur le carré. Je tournait doucement et.. la porte s’ouvrit. J’avais le cœur qui battait et des pensées commençait à me triturer l’esprit.
Et s’il revenait plus vite que prévu ?
A la vue de mon compagnon, les pensées négatives s’envolèrent et je lui fis signe de me suivre.
Je refermais la porte derrière nous et il me retourna en se mettant à genoux.
-         J’ai trop attendu pour te sucer 
-         Il descendit mon zip et me lécha le slip en baissant mon pantalon. Je sentais sa salive me mouiller la queue a travers le tissus mais ca ne dura pas. Je la voulais dans sa bouche, qu’il me la suce bien à fond.
-         J’écartais mon slip et le baisser , laissant jaillir ma queue qu’il englouti comme un affamé.
-         Nous avions un peu de temps mais à ce rythme et vue l’excitation qui me tenait çà allait être largement suffisant.
-         Je le regardais me sucer et je voyais ma tige luisante de salive s’enfoncer profondément dans sa bouche. Sa tête faisait des mouvements de va et vient et en même temps de rotation, comme si il vissait ses lèvres le long de ma tige. Je m’appuyai contre la porte et posai une main sur ses cheveux pour sentir ses mouvements.
-         Je sentais ses doigts me masser les couilles, me baisser un peu plus le slip, passer sur mes fesses, caresser ma raie et me titillant le trou. Je les sentais toutes les deux, chacune sur une fesse pour se baiser la bouche en appuyant pour s’empaler sur mon sexe qui n’allait pas tarder à lui cracher son jus.
-         Je bande encore mon salaud, me chuchotât-il en aspirant un testicule.
-         Mmm, je vais pouvoir te resucer alors.
-         Tu ne préfères pas autre chose ?
Il reprit ma tige et s’étrangla un peu quand elle lui toucha la gorge pendant qu’il baissait son pantalon. A peine une heure qu’il avait jouit, il était en forme et ca m’allait très bien.
Je voyais ce qu’il voulait dire par cette autre chose mais est ce que nous en avions le temps ?
-         J’ai envie de te baiser.
-         J’avais deviné.
Il mouilla un de ses doigts et écarta mes fesses de l’autre main en reprenant ma bite entre ses lèvres. Je sentis la fraicheur de sa salive à l’entrée de mon anus et son doigt qui poussait déjà pour me dilater.
-         Doucement hein ?
-         Ne t’inquiète pas.
Plusieurs fois il mouilla ses doigts et entreprit de me lubrifier le trou tout en l’écartant sans lâcher ma queue ou mes couilles. Je sentis un doigt me pénétrer et tourner dans mon cul mais ne senti même pas qu’il en était déjà au second. Mon anus s’ouvrait sous ses caresses. Je sentais ses doigts tourner en élargissant ma rondelle au moment où..
Mon jus gicla pendant qu’il me mordillait la peau des couilles en me branlant et m’enculant de ses doigts. Il accéléra sa branlette en prenant mon gland dans sa bouche. Ma première giclée lui avait mouillé le front et coulait le long de sa joue, Il avalât goulument le reste de mon sperme, comme je l’avais fait dans le compartiment. Après m’avoir bien rincé la queue de sa langue en me pressant la tige pour en extraire la dernière goutte, il se releva.
J’en profitai pour me baisser et lui prendre la queue. Elle était vraiment raide et dure. Son gland me caressait le palais et la langue, je suçais comme une friandise cette belle queue qui allait me visiter le cul.
Pendant ce temps il récupérait mon foutre sur son visage et m’en enduisait le trou en y enfonçant au passage deux ou trois doigts.
J’étais penché de côté, mes fesses offerte à ses préparatifs lubrifiants. Je mouillais sa bite tant que je pouvais en l’imprégnant de ma salive. Cà plusmon jus devrait lui permettre de m’enculer sans problême.
- Tournes toi !
Les mains appuyée sur la porte, les fesses tendues vers lui, j’étais prêt à la saillie. J’espérais qu’il allait bien me baiser et que son foutre me remplirait le cul, comme il m’avait rempli la bouche tout à l’heure.
Son gland lubrifié de ma salive frotta sur ma raie et descendit vers l’entrée de mon anus bien préparé et mouillé de foutre. D’une main je l’aidais en écartant une fesse pour bien dégager mon entrée.
-         T’en veux mon salaud hein ?
-         Bien sur que j’en veux, mets la moi bien profond!
Il dirigeait sa bite d’une main en me tenant la hanche de l’autre. Son gland trouva le trou et je le senti appuyer en me tirant contre lui.
Je reposais mes mains contre la porte, il avait trouvé son entrée et je sentais son gland pénétrer mon cul. Il glissa en forçant ma rosette doucement, et j’appréciai une fois de plus ce moment ou une queue m’ouvre l’anneau.
Une fois sur de son entrée, il me prit les deux hanches et fermement me tira vers lui en poussant sa tige par saccade jusqu’à la base. Je fermais les yeux en sentant sa queue entrer de plus en plus loin. Elle était plantée dans mon cul, c’était super et j’espérais que ca allait durer un bon moment.
Je me cambrai un peu plus en tortillant mes fesses et il entreprit de me baiser sur toute la longueur de sa queue. Je la sentais glisser presque à en sortir. Mon trou près à se refermer  si son gland s’échappait. Puis son il rouvrait mon cul en poussant bien à fond, ses couilles tapant sur mes fesses.
Il me baisa une ou deux minutes dans cette position. Il y avait a peine 10 mn que nous étions là, tout se passait très vite, le temps était compté.
-         Je vais te jouir dans le cul, baisses toi bien !
-         Attends viens.
Je me tournais d’un quart de tour, sans qu’il ne sorte de mon cul dilaté et j’appuyais ma tête sur la banquette du contrôleur. Je pris mes fesses et les écarta pour lui offrir mon trou encore mieux.
Il se remit à me défoncer l’anus et je gémissais de plaisir. C’est vraiment bon d’avoir une queue plantée dans le cul qui vous défonce pour y cracher son jus.
Dans la position que j’avais prise, je voyais entre mes cuisses, sa queue sortir de mon anus et ses couilles se balancer au rythme de la saillie dont j’étais la chienne.
Je lâchais ma fesse droite et passa ma main entre mes cuisses. J’avais envie de lui toucher les couilles pendant qu’il déchargeait et me remplissait le cul.
Je massais les bourses et sentait les couilles à travers la peau fine. Je les roulais entre mes doigts.
Il lâcha un râle et s’agrippa à mes hanches en accélérant la baise.
- Je jouiiis
- Mmm. Oui vas y donne moi ton jus.
Il gicla dans mon trou en continuant de me baiser de moins en moins vite puis laissa sa queue en sortir.
-         T’as un beau cul mon salaud, pas moyen de tenir plus longtemps.
-         C’était super, et peut être qu’on aura l’occasion de recommencer.
-         On arrive a quelle heure à Paris ?
-         06h30 ou 07h00. Ca nous fait au moins 5 heures devant nous, on verra bien.
En me remontant slip et pantalon je serrais les fesses pour garder le jus bien au fond de mon cul de salope. C’est ce que je pensais. J’avais un cul de salope et j’aimais çà.
Il sorti le premier, je le suivi et refermai la porte après un rapide coup d’œil pour voir si rien n’avait bougé.
Nous passâmes au wagon restaurant désert et regagnèrent notre compartiment avec deux bouteilles d’eau.
- A Lyons, je crois qu’il y a un arrêt assez long, j’irai au buffet de la gare si ma femme à faim.
J’avais le cul encore sensible, non pas douloureux, juste sensible et cette sensation j’ai toujours aimé la ressentir après en espérant qu’elle dure longtemps.
En rentrant dans le compartiment, aucun commentaire de sa femme qui s’était assoupie à nouveau. Nos affaires étaient « sous bonne garde » avec cette marmotte mais au moins elle nous permettait de faire ce dont nous avions envie. 
C’était le principal.
Dans 30 mn nous allions atteindre Lyons. Je m'installais, lui fit un sourire et fermais les yeux en revivant ce qui venait de se passer.
 
 
 
 
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